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La polyploïdie apparaît dans de nombreuses situations de stress, et même dans le développement normal

Dans une news de Science Elizabeth Pennisi (2023). ici présente plusieurs recherches remettant en cause – ou en tous cas nuançant passablement – ce qui est enseigné à propose de nos génomes. Classiquement on enseigne que la plupart des organismes sont diploïdes ( ils ont un génome composé de deux jeux de chromosomes homologues).

On lit par exemple dans Campbell (2007) « Chez l’humain, chaque cellule somatique – toute cellule qui n’est pas un gamète – renferme 46 chromosomes. » . On distingue la ploïdie (n) et la quantité d’ADN en picogrammes par gamète (C). Dans le cas de l’espèce humain 2 = 46, mais aussi chez une espèce de zèbre ( Equus grevyi 2n=46) et chez l’olive Olea Europaea (Besnard,et al., 2008)).
Plusieurs recherches montrent que la polyploïdie est fréquente, bien contrôlée et nécessaire p. ex pour la floraison, la forme cardiaque et  une réponse efficace dans des situations de crise à différentes échelles de temps – cicatrisation d’une blessure, ou survie lors d’un cataclysme.
Pennisi conclut que « Ce qui est certain, c’est que les cellules polyploïdes, loin d’être anormales, constituent l’un des principaux mécanismes de la vie pour faire face au stress des blessures, des maladies et d’un environnement hostile. » Traduction

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